Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
SECTIONDERECHERCHESFICTIONS1.over-blog.com

DISPARUE DANS LA NUIT/EMMÉNAGEMENT/UNE PLONGÉE TRAGIQUE

9 Mai 2017 , Rédigé par MARTINE CHOJNACKI Publié dans #FICTIONS SUR LA SÉRIE SECTION DE RECHERCHES

Toujours au domicile vers Matt (le père de Albane la petite fille enlevée et tuée) 

Martin : voyez vous ce qui nous embête, c'est la vitre cassée, pourquoi avoir cassé cette vitre alors que la porte n'était pas fermée à clef, 

Matt : la porte était fermée à clef j'en suis sur


Lucas : oui bien sur, pour moi vous avez cru l'avoir fermé, ou vous avez fait exprès


Matt : exprès de quoi ? de quoi êtes vous en train de m'accuser ? 


Martin : d'avoir manigancé l'enlèvement de votre fille

Cassidy : vous l'avez tué pour ne pas quelle vous dénonce auprès de votre compagne, 


Elle lui balance des photos 


Matt : c'est vrai j'étais quelqu'un de malade, mais je me suis soigné


Mathilde : vous me dégoûtez vous n'assumez même pas ce que vous avez fait


La compagne de Matt mère de la petite Albane écoutait derrière la porte


Matt : je n'ai jamais touché à Albane


La compagne de Matt mère de la petite victime : espèce de menteur, mon parrain avait raison tu es irrécupérable, et dire que je me suis battue, que je te faisais confiance, tu m'avais promis


Matt : je te jures que je n'ai jamais touché à Albane


La compagne de Matt mère de la petite victime : arrête tu t'enfonces, Emeline t'a vu entrée dans sa chambre, elle m'a tout raconté, elle a prit les devants, elle n'a pas voulu que tu fasses subir à Albane ce que tu lui as fait subir à elle

Elle se tourne vers Martin, Lucas, Mathilde et Cassidy : tenez c'est son carnet intime, tout est marqué avec des photos, Emeline m'a avoué ce quelle a fait la nuit dernière, avec l'aide d'une tierce personne, c'est vrai elle a fait une grosse bêtise mais dans ma douleur je lui ai pardonné


Matt : je te demandes pardon 


La compagne de Matt mère de la petite victime le gifle : je te pardonnerais jamais, ma petite Albane est morte je n'a la reverrai plus à cause d'un salop, j'aurai du écouter Mano, mais non j'ai foncé, tête baissée, je te défendais becs et ongles


Matt : de toute façon il n'a ma jamais apprécié


La compagne de Matt mère de la petite victime : c'est la où tu te trompes mon parrain t'as toujours apprécié


Matt : c'est pour ça qu'il n'a pas lever le petit doigt quand j'ai été viré de la brigade


La compagne de Matt mère de la petite victime : il t'a toujours défendu, mais il avait les mains liées, il aurait pu perdre son boulot à cause de toi


Matt : à cause de moi ? ça c'est la meilleure, j'ai accepté leur stupide marché et regarde où j'en suis et en plus il a donné son accord


La compagne de Matt mère de la petite victime : parce qu'il croyait en toi et il voulait que tu t'en sortes, et je te rappelles qu'il t'a proposé un job


Matt : un job à mi temps, où je gagnais des clopinettes, ce n'est pas avec ça que j'aurai payé les traites de cette maison qui coûte un bras....................................


Martin, Cassidy, Lucas et Mathilde sortent 


Martin : bon il n'avouera pas comme ça pour le meurtre de la petite Albane


Au même moment Enzo l'appelle


Martin : excusez moi, oui Enzo


Enzo : Nadia a du nouveau


Martin : nous aussi, oui à tout de suite


Pendant ce temps à l'extérieur de l'hôpital dans le vaste parc, Roxane et  Vicky avaient rejoins Luc, Sara et la mère de Joan


La mère de Joan : je n'y arrive pas y croire ma petite Joan, mon dieu tout ça c'est de ma faute, vous savez elle n'a pas un fond méchant, si seulement elle m'avait parlé, qu'est ce quelle va devenir, elle va aller en prison


Luc : non elle n'a que 12 ans, il n'y aura pas de poursuite


Sara : enfin normalement


La mère de Joan : le juge lui fera seulement une petite tape sur les doigts, veuillez m'excuser, maintenant je veux voir ma fille et lui parler


La mère de Joan entre à l'intérieur de l'hôpital, à l'extérieur le téléphone de Luc sonne


Luc : oui Enzo, nous allions repartir, OK à toute de suite

 

Il raccroche


Luc : bien il y a du nouveau, allez 


A l'intérieur de l'hôpital, une infirmière poursuivait la mère de Joan


L'infirmière : madame, madame, je ne vous laisserai pas rentrer dans cette chambre


La mère de Joan : à votre place je me pousserai, surtout si ne voulez pas perdre votre job, mon père est l'administrateur de cet hôpital et un mot de ma part et vous êtes virée et dans la situation où vous êtes je doutes que vous vous en releviez un jour


L'infirmière s'écarte


La mère de Joan : merci.............................. à suivre

Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article